The soul is not a combination of elements, it is not composed of many atoms, it is of one indivisible substance and therefore eternal. It is entirely out of the order of the physical creation; it is immortal!
Scientific philosophy has demonstrated that a simple element ('simple' meaning 'not composed') is indestructible, eternal. The soul, not being a composition of elements, is, in character, as a simple element, and therefore cannot cease to exist.
The soul, being of that one indivisible substance, can suffer neither disintegration nor destruction, therefore there is no reason for its coming to an end. All things living show signs of their existence, and it follows that these signs could not of themselves exist if that which they express or to which they testify had no being. A thing which does not exist, can, of course, give no sign of its existence. The manifold signs of the existence of the spirit are for ever before us.
(`Abdu'l-Bahá, Paris Talks: Addresses given by `Abdu'l-Bahá in Paris in 1911-1912, 11th ed. (London: Bahá'í Publishing Trust, 1969), p. 91.)
L'âme n'est pas une combinaison d'éléments; elle n'est pas composée d'une multitude d'atomes, mais d'une substance unique et indivisible ; c'est pourquoi elle est éternelle. Elle est d'un tout autre rang que les créatures du monde physique : elle est immortelle.
La science a démontré qu'un corps simple, - simple voulant dire non-composé - est indestructible, éternel. L'âme n'étant pas composée de plusieurs éléments joue le rôle d'un corps simple et, par conséquent, ne peut cesser d'exister.
Formée de cette substance une et indivisible, elle ne peut subir ni désintégration ni destruction ; aussi n'y a-t-il aucune raison pour qu'elle meure. Tout ce qui vit manifeste des signes de son existence ; il s'ensuit que ces signes ne pourraient d'eux-mêmes exister si ce qu'ils manifestent ou ce qu'ils prouvent n'existait pas. Ce qui n'existe pas ne peut, bien entendu, manifester aucun signe.
Les innombrables signes d'existence de l'esprit sont pour toujours devant nos yeux.
(Causeries d'Abdu'l-Bahá à Paris, 1980, p.78 )
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